Schéma Holistique pour l’Auto-évaluation Paysanne de la Résilience climatique (SHARP)
Désert du Namib, Angola (©FAO/David Colozza)

La résilience aux changements climatiques en Afrique

Un nombre important de pays de l'Afrique subsaharienne ont tendance à être particulièrement vulnérables aux changements climatiques pour un certain nombre de raisons, y compris des sols pauvres, des précipitations irrégulières, des températures élevées, aridité, dépendance sur des ressources naturelles qui dépendent de la pluie et / ou finis, le manque des infrastructures et des taux de croissance élevé de la population.

Le changement climatique - ainsi que les pratiques non durables dans la gestion des terres et des sols, y compris la déforestation, le surpâturage et l'application excessive d'intrants chimiques - est également parmi les principaux moteurs des processus de dégradation des terres. La perte de la qualité du sol, résulte à son tour dans une productivité agricole inférieur, et peut conduire à des pertes sociales et économiques graves.

La FAO travaille en synergie avec un certain nombre de partenaires pour gérer des projets visant à améliorer la résilience des agriculteurs et éleveurs dans le but de préserver leur mode de vie traditionnel, leurs connaissances indigènes locales et d'améliorer les moyens de subsistance de leurs communautés. Les projets de la FAO ont mis en œuvre 4500 Ecoles d'agriculture de terrain (FFS) et ont réhabilité des 67.000 hectares de terre.

SHARP est actuellement mis en œuvre, ou a été testés dans 10 pays à travers l'Afrique sub-saharienne. Des partenariats sont activement cherché à élargir l'utilisation de SHARP en Asie-Pacifique, Amérique latine et d'autres régions du monde comme un outil pour l'évaluation de la résilience au changement climatique